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Titres en B

Bien entendu
Bonheur
Babylone gagnant
Bouche à oreille
Bureaucratie
Bols d'air
Bourgeois
Beaux parleurs
Berlin
Boniments
Bloc opératoire
Bucolique
Bricolage
Balançoires d'arcs-en-ciel
Burkina
Batterie faible
Balles réelles
Bois Dormant
Bastion
Bow windows
Bissomañ
Boucherie chevaline
Beau faire
Bons baisers de B.
Brouette
Bouche de Carême
Brisure
Balles neuves
Bazar
Baby boom
Bleu de Delft
Bouches pleines
Breakable
Bémol
Bourrasque
Boxeuse
Bouffée de poésie
Blessure Cachée
Babel
Bonjour, Tristesse (Hommage à Sagan)
Bleu, le matin...
Buissonnière
Balayeur
Bout de ficelle
Bienvenue ma Thérèse Katoka Topaze
Bienvenu mon Fils Preston Adrien Munyoka
Bienfaisance
Belle-de-nuit
Bel objet
Blessures d'exil
Blink
Battre le frère quand il est faux
Bucolique
Baiser
Bouture
Bien des choses
Banlieue sud
Bordée d'injures
Bestiaire cinquantenaire
Blues
Buée
Brûlure du monde
Bûcher
Bouquet de nénuphars
Bohou, le joyau sauvage
Bancale...
Bâillon
Balade à Wissant
Be the force
Bruxelles ma maîtresse sous la pluie
Brûlures d'exil...
Bonheur
Bègue
Bataille de ma vie
Breathing Out Loud
Bestiaire pour dames
Bad trip, ball-trap...
Bon signe
Blablabla
Breathless
Bouche cousue
Baiser
Bonjour lucidité !
Bienvenu au Réveil
Bittersweet
Blooded Tears
Black Power Salute
Babouilles (Part I)
Ballet Primitif
Backstreet
Baume
Bal des chimères

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Bien des choses

Yanka,  le 30.09.2012


Qu'on le veuille où non, sans qu'on les nomme, il y'a bien des choses qu'on nous pardonne.
Mais sachons que les hommes ne peuvent pas tout entendre sans qu'on les sonne.
Qu'on les aime, qu'on les adore, surtout : il ne faut pas qu'on arbore autre chose qu'une belle indifférence et un sourire en or.
Ils nous veulent inconstantes parfois plaintives ; ils préfèrent les moineaux aux figures soumises et souhaitent pouvoir toucher –de leurs plumes érodées– de belles cages à peine mordorées.

Ils nous clament à nous, pauvres aigles, belles colombes, qu'ils vivent de liberté mais, dans l'ombre ; ils acceptent de troquer nos ambiguïtés contre des poulardes aux sourires masqués.

Et les voilà, nos étalons, changés en d'oblongs navets fantasmant sur ce qu'on aurait pu inventer comme vie mais dont ils ne feront plus que rêver.

 

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